Foot et musique : telles sont les deux mamelles qui nourrissent le temps libre d'Arès. Temps libre qu'il a en quantité grâce à son métier de matinalier à la radio.
Si son terrain de foot c'est son canapé, il est obligé de sortir de chez lui pour pratiquer le chant choral depuis ses cinq ans. Modestement à la chorale de son école arménienne puis moins modestement à la Maîtrise de Hauts de Seine et à l'Opéra de Paris. Parallèlement, il tape sur des bambous au conservatoire de Meudon.
Une fois devenu un homme, un vrai, c'est au Choeur de l'Orchestre de Paris qu'il s'échoue, avant de rejoindre ses amis au Petit Choeur qui Bat.
Depuis 2012, il fait profiter de sa science à l'ensemble vocal Artsakank Résonance Arménienne.